Recycling: Montreal municipalities still have a lot of work to do (extrait)

29 11 2011

Recycling: Montreal municipalities still have a lot of work to do.

Comment limiter l’exposition aux matières résiduelles récupérables et celles qui le sont moins, ou pas du tout, des citoyens ?

Salubrité et recyclage sont en crise de relation publique à Montréal. La chaleur et l’humidité sur de longues périodes de temps, comme celles que nous avons connues l’été dernier, dans les quartiers pauvres de Montréal en particulier, en font des milieux à haut risque pour la santé publique. Le potentiel de ces rues transformées en véritables «milieux de culture » fréquentés par les itinérants et le grand public laisse plutôt songeur. Trois longues journées ou consécutivement se côtoient matières recyclables et déchets sont propices aux développements d’éventuels germes potentiellement dangereux.





What happened to the radiation that’s supposed to last thousands of years??

23 11 2011
Le lien accessible:

   HIROSHIMA  1945

We all know that Hiroshima and Nagasaki were destroyed in August 1945 after explosion of atomic bombs.

However, we know little about the progress made by the people of that land during the past 64 years.

               HIROSHIMA – 64 YEARS LATER

            DETROIT – 64 YEARS AFTER HIROSHIMA…..

 

           What has caused more long term destruction ….

        the A-bomb or U. S. politics?

 

http://www.city-data.com/forum/politics-other-controversies/1002477-what-happened-radiation-thats-supposed-last.html





L’Europe plus vigilante sur les produits de la mer importés – Journal de l’environnement

23 11 2011

L’Europe plus vigilante sur les produits de la mer importés – Journal de l’environnement.

L’Europe plus vigilante sur les produits de la mer importés

Le 16 novembre 2011 par Romain Loury

La recherche de résidus de médicaments sur les produits de la mer importés est plus active dans l’Union européenne (UE) que dans d’autres régions du monde, notamment aux Etats-Unis, révèle une étude publiée dans la revue Environmental Science and Technology.
Selon le type de produit issu de l’aquaculture, ce sont 20 à 50% des importations qui feraient l’objet de tels examens à leur entrée dans l’UE. Loin devant le Japon (18%), le Canada (2 à 15%) et les Etats-Unis (2%), montrent Keeve Nachman et son équipe, du Johns Hopkins Center for a Livable Future (Baltimore) [1].
Une analyse plus détaillée révèle des profils très différents d’un pays à l’autre, en fonction du type d’importation et du contrôle plus ou moins poussé selon les produits. Pour l’UE et le Japon, plus des deux tiers des contrôles positifs sont liés à des crevettes, tandis qu’aux Etats-Unis et au Canada, aucun produit ne s’avère aussi dominant par rapport aux autres.
Quant au pays d’origine, c’est le Vietnam qui arrive en première position pour les produits ne répondant pas aux normes (43% des violations aux Etats-Unis, 16% pour l’UE). Là aussi, selon l’attention accordée à un pays ou l’autre, c’est l’Inde ou la Chine qui arrive en deuxième position: dans l’UE, l’Inde devance ainsi la Chine, alors que c’est l’inverse ailleurs.
Autre constat, les Etats-Unis contrôlent moins de résidus de médicaments que les autres pays. Conséquence: l’UE, le Japon et le Canada peuvent retrouver jusqu’à 10 médicaments dans les crevettes, tandis qu’aux Etats-Unis un contrôle positif n’a souvent trait qu’à 2 types d’antibiotiques, le chloramphénicol et les nitrofuranes.
«En matière de tests, les Etats-Unis, qui ciblent quelques médicaments, passent probablement à côté d’un nombre important de ceux détectés à l’entrée de l’UE, du Canada et du Japon», expliquent les auteurs.
En mai dernier, le Government Accountability Office (GAO), équivalent américain de notre Cour des comptes, avait déjà critiqué la FDA pour ce faible contrôle sanitaire des produits de la mer importés (voir le JDLE). Il allait même plus loin que cette nouvelle étude, en affirmant que seules 0,1% des importations avaient fait l’objet d’un dosage d’antibiotiques en 2009!
[1] Les chercheurs ont pour cela analysé les bilans d’inspection du Système d’alerte rapide pour les denrées alimentaires et les aliments pour animaux (RASFF) pour l’UE, de la Food and Drug Administration (FDA) pour les Etats-Unis, de la Canadian Food Inspection Agency (CFIA) et du ministère japonais de la santé.




VIDEO: After Pepper-Spraying, A Powerfully Silent Protest At UC Davis : The Two-Way : NPR

20 11 2011

VIDEO: After Pepper-Spraying, A Powerfully Silent Protest At UC Davis : The Two-Way : NPR.

 

Hundreds were injured and at least one person died Saturday in Cairo when police swept through a camp of protesters in Tahrir Square. A crackdown continues in Syria. Yemen’s oppressive government remains in place.

It’s always important to keep things in perspective.

Still, what happened Friday on the campus of the University of California Davis has struck a chord. In a demonstration of support for the Occupy movement, a small group of protesters was sitting, arms linked together. Campus police told them to move. The students didn’t. And that’s when an officer walked down the line of seated men and women, pepper-spraying them. Some took it straight in their faces. Many of the several hundred others who were there screamed in terror and frustration.

video of the incident has been viewed more than half a million times so far and has spread the story.

YouTube

Campus police said the officers had been surrounded by protesters and commanders have defended their actions. So did university Chancellor Linda P.B. Katehi — which led to a call from the school’s faculty association for her resignation. Katehi has since said she wants an outside, independent panel to review what happened and that she doesn’t plan to step down.

There’s a second video related to this story that we want to share. In some ways it’s more powerful than the one that’s been going viral.

On Saturday, after a news conference she held, Katehi remained inside one of the university’s buildings for a couple hours. Outside, protesters regrouped. And when she emerged, there was one of the most amazing scenes so far related to the Occupy movement. As Katehi and another woman walked three blocks to an SUV, they passed through a gauntlet of several hundred students — who remained silent in a powerful show of their disdain.

YouTube

Update at 2:15 p.m. ET: Two campus police officers have been placed on administrative leave, the university says. And, according to The Davis Enterprise, Katehi today issued a statement saying she wants to speed up the timetable for an inquiry into the incident and that:

« I spoke with students this weekend, and I feel their outrage. I have also heard from an overwhelming number of students, faculty, staff and alumni from around the country. I am deeply saddened that this happened on our campus, and as chancellor, I take full responsibility for the incident. »

Tags: Linda P.B. KatehiOccupy UC Davisstudents pepper-sprayedUC Davis





L’Américaine qui défie les banques – M Magazine

20 11 2011

L’Américaine qui défie les banques – M Magazine.





Superbe vidéo de la terre et des aurores boréales vu de la station ISS

20 11 2011

 

 





Cultivating a novel way to grow food – Business – China Daily eClips

15 11 2011

Cultivating a novel way to grow food – Business – China Daily eClips.





Secret ‘Watch List’ Reveals Failure To Curb Toxic Air : NPR

7 11 2011

Secret ‘Watch List’ Reveals Failure To Curb Toxic Air : NPR.

Particulièrement intéressant pour les cartes de répartition en fonction des sources de polluants que l’on retrouvent dans cette article.





Selon le Collectif scientifique sur les gaz de schiste – La pertinence de développer le gaz de schiste n’est pas démontrée | Le Devoir

2 11 2011

Selon le Collectif scientifique sur les gaz de schiste – La pertinence de développer le gaz de schiste n’est pas démontrée

Louis-Gilles Francoeur   2 novembre 2011  Actualités sur l’environnement

Le Collectif scientifique sur les gaz de schiste estime que le plan de réalisation de l’étude environnementale stratégique (EES) sur cette filière fait fi de la question en amont de toutes les autres, soit: est-il pertinent de lancer le Québec sur cette voie?

Le collectif, qui regroupe une centaine de chercheurs et scientifiques souhaitant offrir au public leur expertise dans ce débat, estime qu’il serait «illogique d’entreprendre des études sur de possibles accommodements technologiques, législatifs et économiques permettant de poursuivre le projet de développement du gaz de schiste, tant que la pertinence d’un tel développement n’aura pas été clairement démontrée».

Et pour les scientifiques du collectif, cette démonstration ne doit pas se limiter à l’étude de la «justification économique», une logique fermée pourtant retenue dans l’EES. Une véritable «justification» doit reposer, disent-ils dans leur analyse «préliminaire» du devis de l’EES dévoilé vendredi dernier, sur une comparaison avec d’autres filières d’énergies renouvelables et de stratégie d’économie et d’efficacité énergétique. Ainsi que sur un «système intégré» qui réunirait toutes les filières vertes.

Définition étroite

En limitant l’approche de l’EES aux seuls aspects économiques on passe à côté de l’essentiel, car, écrivent-ils, «le propre d’une EES est en effet d’évaluer la performance environnementale d’un projet». Ce choix d’une définition étroite de l’EES a des impacts importants et nombreux, selon le collectif scientifique.

Ainsi, le scénario «aucun développement», que l’EES veut analyser, est-il une confirmation du statu quo avec son cortège de projets en cours ou en préparation? Et une autre question se pose: ce scénario dit d’«aucun développement» exclut-il d’autres filières intéressantes sur le plan environnemental qui permettent, par exemple, de produire du gaz de méthane avec des déchets urbains, agricoles ou industriels, une éventuelle solution de rechange aux controversés gaz de schiste? Ces filières plus acceptables pourraient d’ailleurs, notent les chercheurs, se développer sur les mêmes territoires que ceux visés par les promoteurs des gaz de schiste.

D’autre part, poursuit le collectif, en limitant la «justification» de cette filière à la seule rentabilité économique, le comité responsable de l’EES n’accorde forcément pas la priorité à l’acquisition de connaissances sur la question centrale de la pertinence globale — c’est-à-dire sociale, environnementale, énergétique et économique —, ce qui va stimuler plutôt la recherche du côté des moyens de limiter les impacts d’une filière avant qu’on sache si le jeu en vaut la chandelle.

Le collectif propose enfin de compléter l’examen strictement économique de cette filière par une comptabilité rigoureuse des «externalités» liées à son développement, soit les impacts sociaux et environnementaux qu’on aura quantifiés.

gaz de schiste, évaluation environnementale stratégique (EES)

viaSelon le Collectif scientifique sur les gaz de schiste – La pertinence de développer le gaz de schiste n’est pas démontrée | Le Devoir.





Collectif Les Morts de la Rue

1 11 2011

Collectif Les Morts de la Rue.








%d blogueurs aiment cette page :